samedi 7 avril 2007

à suivre.



Dans notre non-série des conseils d'Isaac, je vous recommande de regarder le travail de Virginie Talavera. Une artiste parisienne passionnante, qui prend comme modèle récurrent la représentation de muses urbaines et de la féminité. Je trouve que son travail et son discours dépasse le sujet qui est donné à voir : elle nous parle oui de féminité et de la condition féminine, mais aussi d'amour, de haine, de la peur, et de la joie. Une artiste du sentiment. Extrèmement créative.




7 commentaires:

Anonyme a dit…

Où peut-on voir son travail?

Isaac a dit…

Aujourd'hui, à ma connaissance pas d'expo en cours ... Néanmoins,dès qu'il y a du nouveau je te tiendrai informée car elle vaut vraiment le coup, fait moi confiance là-dessus.

Anonyme a dit…

merci pour cette note

Isaac a dit…

U're welcome

marcel camus a dit…

Je trouve pas ça grandement intéressant au contraire. Juste de l'illustration rien d'autre, avec un discour tellement caricaturale de la jeune fille, bref, de jolie toiles pour les W.C.

Isaac a dit…

Cher Marcel ... Camus, félicitations pour ce pseudo. Vous devez être tout à fait brillant.
Votre post est ininteressant et infondé.
Mais pour l'avoir commis, vous montrez là de toute évidence les limites de votre jugement.

marcel camus a dit…

A votre tour argumentez.

Je ne vois rien, navré, vraiment d'intéressant dans cette peinture. Est ce pour cela qu'il faut réduire son interlocuteur à un moins que rien car vous répondez à ma provocation?

Bref, il y a rien. Ce n'est pas un drame, ce n'est pas une peintre, les silhouettes sont loin d'être sensuelles, on peut parler de sensualité pour Klimt par exemple. Elles sont beaucoup trop statiques pour etre sensuelles, beaucoup trop maitrisées pour etre vivante.

Il faut lire le chef d'oeuvre inconnu de Blazac et on se rend bien compte que ces tableaux sont loin d'être de la peinture. Juste quelques couleurs posées par ci par là. Mais apparemment vous avez la bonne parole.

Parlons de la couleur par exemple. Elle est tres mal utilisées. Où est la chair? Nulle part. Les figures ne vivent pas. C'est bien dommage.

Trop de rigidité dans ces formes, trop de mélange. Un traitement beaucouop trop proche d'une image de publicié qui communique un slogan. Les images sont celles de logos rien d'autres.

Je n'ai pas de jugement envers l'auteur de ces toiles, juste envers ce que je vois. Il est bon de discuter, m^me si j'avou être parfois radical.

Enfin Marcel Camus est loin d'être un pseudo, mais apparemment vous avez réponse à tout même à ce que vous ne connaissez pas.