Adresse : Galerie Olivier Robert, 19 rue Mazarine dans le 6eme à Paris
jusqu'au 10 janvier.
Le communiqué de presse qui présente la dernière exposition de ce jeune artiste parisien évoquait un parallèle entre son travail et Van Eyck (que j'adore). En le lisant, pour tout vous avouer, j'étais assez réservé. J'attendais donc avec impatience de me rendre à la galerie Olivier Robert pour juger "en vrai" des nouvelles créations de cet artiste dont j'avais beaucoup aimé le travail lors du salon du dessin contemporain. Et dont j'adorais les toiles mais que je n'avais vu qu'en reproduction (livre, web).
Il faut y aller. C'est vraiment exceptionnel. Magnifique. Et en étant sur place, j'ai compris la comparaison Van Eyck et les primitifs flamand. Et j'y souscris totalement.
Mais cher lecteur (au singulier au regard de ma faible fréquentation), ne retiens qu'une chose de cette note : j'adore vraiment le travail de cet artiste, et je te recommande vraiment d'y aller.
En revanche, impossible d'acheter une toile, elles ont déjà toutes été vendues : il reste néanmoins quelques dessins dont l'ambition est certes plus modeste mais qui valent le détour.
1 commentaire:
Cette proximité avec les primitifs (peut-être plus avec les italiens comme Pisanello, finalement, que les flamands, à cause de l'aspect sec de la pâte), est due aussi au fait que Julien Beneyton semble reprendre la peinture de zéro, progressant d'exposition en exposition jusqu'à parvenir, avec cette exposition-ci, à une réelle exaltation visuelle.
La Peste
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