mardi 2 juin 2009

De Dick Cheney et de son offensive anti Obama, suite



Pour faire suite au billet précédent et poser clairement les enjeux associés aux déclarations de Cheney, je dirais que celle-ci permet de mettre en lumière 3 problématiques.



  • La première : la ré-ouverture du débat politique aux US.

  • La seconde : poser la question de l'attitude des nombreux tartuffes qui n'ont cessé de pousser des cries d'orfraie quant aux vilaines méthodes de Bush à Guantanamo : "les mecs, c'est la guerre ! Houhou, on se réveille." C'est moche, sans doute, mais si on veut jouer à la guerre, il faut accepter ses règles.

La troisième : Cette politique a-t-elle été efficace ou pas, et de grace, essayons d'y répondre sans tomber dans la caricature.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

cher Isaac,
encore une fois un article fort intéressant. pour prolonger ta réflexion sur "houhou c'est la guerre", il est à noter que oui, la plupart des grandes démocraties de ce monde "jouent à la guerre" hors les murs, et il me semble que cette violence n'est supportable que loin de chez soi pour les peuples de ces démocraties. si le débat dont tu parles permet de poser la question de la nature de ces guerres modernes et continues "de l'extérieur" et de regarder en face la violence réelle produite par nos démocraties dans le monde, alors c'est un débat utile. indispensable certainement.
amicalement, avec le rire de Sara