Au programme, donc et dans l'ordre d'apparition :
Camille Saint-Saens, Romance en Do MAjeur
Vivaldi, Credo
Mozart, Requiem
La vrai découverte fut celle de Saint-Saens et de l'étonnante interprète au violon solo, Anastasia KHITRUK. Viruose, généreuse, électrique, et très séduisante : elle m'a absolument électrisé, dans un moment de bravoure exceptionnelle. Et je regrette que le public n'est pas été davantage réceptif à sa prestation, car je pense vraiment qu'un bon concert repose sur un échange entre l'orchestre et les solistes, et le public. Peut-être le froid, peut-être le lieu (assomant) ou tout simplement le public n'était-il pas à la hauteur. Toujours est-il que sa prestation était à couper le souffle.
Au sujet du credo, pas grand chose à dire.
Quant au requiem, et bien, ce fut grandiose, servi par un chef inspiré, Hugues Reiner, et par un ensemble orchestral, un choeur et 4 solistes très à leur aise dans une pièce archi-connu (donc finalement assez casse gueule tant chacun a son propre requiem à son oreille).
Avec un mention spéciale au Basse, Joachim Bresson et à la soprano, Perrine Madoeuf.
2 commentaires:
Ca devient carrement pointu ton blog, dude !
A quand des posts raffraichissants comme ceux sur la carte famille nombreuse ???
Franck B.
ça va revenir, si tu insites !
;)
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