samedi 29 janvier 2011

De la révolution de Jasmin, des neocons, du droit d'ingérance, de faire du business avec la Chine


La contagion du soulèvement démocratique au maghreb démontre par les faits que le néoconservatisme qui théorisait l'introduction de la démocratie au moyen-orient avec le recours éventuel de la force est une idéologie aujourd'hui caduque.

C'est tant mieux sans doute, car l'idée de "libérer" des peuples en mettant en place une force d'occupation et en laissant ces mêmes peuples au second rôle de la prise en main de leur destinée politique a toujours eu quelque chose d'absurde. Mais après tout si ça avait marché ... Mais ça n'a pas fonctionné, confère la situation irakienne.

Aussi, quel soulagement de voir chaque jour les peuples tunisiens et égyptiens décider de leur présent politique.

La Tunisie et l'Egypte on toujours bénéficié de la bienveillance des pays occidentaux. Ca n'a pas empêcher le mouvement légitime du soulevement démocratique auquel nous assistons. A méditer quand il s'agit de considérer les critiques qu'on doit faire, ou ne pas faire à l'encontre des droits de l'homme en Chine par exemple. La real politik passera cher lecteur. Réjouissons-nous, on peut faire des affaires sans se soucier de morale. Car la démocratie et les droits de l'homme n'ont que faire de l'opinion internationale. Quelle soit critique ou bienveillante. C'est le peuple qui décide ou pas de prendre son destin en main.
nm.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Haha! Bien joué nm, ces tibétains quels lambins!
S'ils veulent se liberer va falloir faire un peu plus que prier la, une pioche chacun et au boulo!
A force de remords on risquerait de se perdre pas mal de sous en fâcheries commerciales avec la Chine à cause de certains qui remuent pas leurs fesses! On est bien passés par la, nous!
Almellit