samedi 17 septembre 2011

Des Roms, Roumains et autres esclaves du XXIème siècle


Ha, je suis fâché. Très fâché même pour tout vous dire. Je ne veux ne veux plus être le spectateur impuissant de pratiques inhumaines qui se déroulent là, sous nos yeux, sur le champs de Mars par exemple où je fais souvent mon jogging.
Des hordes de clandestins d'Afrique noire rejoints récemment par des Maghrébins à la faveur du printemps arabe et d'une instabilité grandissante dans cette région. Armés de tours Eiffel en plastiques, d'objets de toutes sortes clignotants, ils sont la chair fraîche exploitée sous nos yeux par des trafiquants de misère. Illégaux, ils n'ont aucuns papiers, aucune couverture sociale, aucun droit. Ils sont forcés à acheter des dizaines d'objets chaque semaines à leurs geôliers. Et depuis peu, la concurrence entre les différentes bandes (Maghrébins, Africains) fait monter doucement la pression entre des individus au regard perdu. Jusqu'où ? Jusqu'à quand ? La France ne peut pas tolérer ces pratiques moyenâgeuses plus longtemps. C'est indigne et l'inaction (où l'inefficacité) de la police et de la justice fait que chacun est complice dès lors que cette situation perdure.

Et les très populaires Roumains, appelés Roms l'année dernière par le gouvernement ? L'horreur s'est invitée à la table du cynisme et de l'hypocrisie.
Car de de quoi s'agit-il ? Quiconque habite à Paris où y vient régulièrement n'a pas pu ne pas constater que là encore les forces du mal (je pèse mes mots) se sont donnés rendez-vous sur les bords de la Seine. Moi, je n'en peux plus. J'en arrive à avoir des hauts le coeur et pourtant je ne suis pas une petite nature. Les femmes qui mendient des heures durant avec de très jeunes enfants, la plupart du temps des bébés immobiles et silencieux ? Je ne peux, veux, plus les voir. Des bandes organisées, mafieuses ("Call me Lucifer" chantait Jagger) droguent de toute évidence des enfants, les déscolarisent en plein Paris, à la vue de tous, comme une insulte à l'humanité. 
Les adolescents qu'on croise en petits groupes dans le métro, sur le champs de Mars ou près de la plupart des lieux les plus touristiques de Paris ? Des enfants de 10 à 15 ans qu'on entrainent à voler à longueur de journée. Encore une fois, ce n'est rien d'autre que de l'esclavage pur et simple. Ces enfants sont privés de leur libre arbitre et de la chance d'en développer un en étant scolarisés.

Moi je dis qu'il y a urgence à décréter une Urgence Nationale sur ces sujets. Il faut aider les victimes et punir sans la moindre faiblesse les salopards qui exploitent, droguent, violentent. 

Et de vous à moi, les occupations illégales de certains terrains par des roms, et bien je m'en moque totalement. A bon entendeur.

nm.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Merci isaac, une fois de plus, pour cet excellent article,
Un célèbre politicien français, dont j'ai oublié le nom disait :
la France ne peut abriter toute la misère du monde.
C'est vrai
Néanmoins, elle peut se donner les moyens pour les éviter.
A l'instar des "moyens colossaux" mis en oeuvre pour lutter contre la soit disant "délinquance routière" je parle des machines électroniques à fric, l'état pourrait mener des opérations d'envergures pour éradiquer ces pratiques de ventes à la sauvette.
Faute de vendeurs, il n'y aurait plus d'acheteurs....
Concernant les pitoyables campements sauvages, force est de constater, qu'ils sont implantés dans des quartiers arrondissements, ou banlieues, qui ne portent aucun préjudices à nos gouvernants ....
Le sujet est grâve et mérite vraiment réflexion et moyens appropriés.
pm